vendredi 18 décembre 2015

De toutes façons, Noël, ça rime avec BORDEL

Les amis, aujourd'hui je ne vais pas montrer mes seins, aujourd'hui je viens chouiner, râler, taper des pieds, faire pipi par terre et me rouler dedans. 

Depuis 10 ans que LePréado est né et 7 que LeBlond a débarqué, il n'y a pas eu un seul 25 décembre sans que je ne jubile de bon matin de l’excitation des enfants, leurs yeux brillants, les papiers cadeaux arrachés, la gueule enfarinée de ma soeur sans café, les piles à mettre dans 50 jouets, les photos des 4 cousins.

Mais cette année, il n'y aura rien de tout ça, parce que les cousins, ils seront à des milliers de kilomètres, en maillot de bain, à observer leur parents siroter des cocktails. Et mes enfants, ils seront chez leur père.

Je ne suis pas le premier ni le dernier parent à passer un 25 décembre sans ses mioches, et bon, on ouvrira les cadeaux le 28, on n'est pas à trois jours près. Mais putain de merde. J'ai pas envie.

Je me raisonnerai, et je ferai même bonne mine pendant le départ des enfants, mais j'ai putain de putain de pas envie.

Je me consolerai en pensant à tous mes contacts qui échapperont à mon bombardement de photos de morveux trop gâtés. Mais ne criez pas victoire trop tôt, je pourrais bien faire ça 3 jours après. Mais merde, bordel, ça me fait chier.

Je suis bien consciente que ce n'est pas la fin de haricots, qu'il y a franchement pire dans la vie. Mais MERDE. Là, tout de suite, j'ai juste envie de :



Et n'oubliez pas, les amis, surtout, restez courtois et polis.



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